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Reportage photos
Le Château de la Madeleine et la Fondation Coubertin
Chevreuse et Saint Rémy les Chevreuse.
Samedi 26 mai 2018 de 9h30 à 16h45
9h15 : RV au parking gratuit des "Petits ponts" à Chevreuse
Deux prénoms féminins symbolisent la ville de Chevreuse :
L'Yvette, nom de cette charmante rivière qui la traverse et dont le charme tient à ses drôles de petits ponts plus ou moins de guingois qui s’alignent le long des berges ; s’y ajoute le mystère de toutes ces vieilles portes basses qu’on aimerait bien entrouvrir !
La Madeleine, nom donné à la forteresse qui surplombe la ville. Vu d’en bas, ce château médiéval du XIIème siècle, remanié au XVème siècle vous écrase de toute son imposante stature !
9h30 : Montée tranquille à pied (80 m de dénivelé : (20 mn)
Puis visite du château fort de la Madeleine avec un conférencier.
12h00 : Repas dans un restaurant de la ville, "L'1 - prévu".
(entrée, plat, dessert : 20 euros hors boisson).
13h45 : Marche le long de l’Yvette jusqu’à la Fondation Coubertin (2,5 km)
14h45 : Visite du jardin des bronzes avec une conférencière.
Le jardin des bronzes de la Fondation Coubertin : ancien jardin à fleurs, clos de murs, lieu d’exposition de sculptures des XIXème et XXème siècles. Promenade entre terrasses et bassins constituant un jeu d’eau permanent.
16h00 : Retour à pied aux voitures (2,5 km).
Infos pratiques :
La montée au château par un sentier balisé ne présente aucune difficulté. ll suffit de prendre son temps. Possibilité cependant pour certains de monter en voiture.
Privilégier le co-voiturage ; être bien chaussé et prendre une petite bouteille d’eau. Compter 6 km de marche dans la journée + visites.
Pour réserver le restaurant, préparer un chèque à part de 20 euros libellé au nom du restaurant "L’1 - prévu" et le déposer à la permanence le jour de votre inscription.
Participation : 15 euros + chèque du repas.
Inscriptions à la permanence de Lecture et Dialogue en matinée
du mercredi 4 avril au vendredi 18 mai 2018.
Les organisatrices : Danielle Weibel - Jacqueline Boitel
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Michiru, jeune femme aveugle, vit seule chez elle depuis la mort de son père. Elle n’a quasiment plus d’amis excepté Kazu une amie d’enfance. Recluse, elle ne se sent à l’abri que dans son appartement, et ne s’aventure jamais dehors.
Quand le jeune Akihiro pénètre chez elle, elle perçoit vaguement une présence, et lorsqu’elle en a la certitude, elle décide de ne rien changer à ses habitudes afin de ne pas provoquer son hôte.
Une étrange relation va alors s’instaurer entre eux, paradoxalement, le silence va les rapprocher.
Nous avons toutes aimé ce roman original sous forme de huit clos, réunissant deux êtres solitaires. Deux êtres, qui, dans cet espace confiné affranchi des carcans de la société japonaise, vont retrouver une part d’humanité qui les ramènera peu à peu à la vie. Avec un rythme lent, peu d’actions, et une écriture sobre, sans artifice, l’auteur de ce thriller psychologique arrive à maintenir le suspens, et le dénouement imprévisible ne manque pas de nous surprendre. Bien que l’histoire soit sombre, les personnages sont attachants et l’écriture sensible et poétique nous a permis de faire une nouvelle expérience de lecture.
Groupe 31 - Mai 2018
Otsuichi est le nom de plume de Hirotaka Adachi, écrivain japonais
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La lecture de " Claudine à l'école " nous a permis de découvrir la vraie personnalité de la brillante femme de lettres que fut Colette. Romancière mais aussi mime, actrice et journaliste, elle défraya la chronique autant dans son existence personnelle que dans son œuvre artistique.
Ce premier roman de la série des " Claudine " est un documentaire sur l'école d'autrefois que la majorité du groupe a aimé pour son style et la description de la nature si chère à l'auteure. A lire ou à relire.
Groupe Plaisir Centre, Mai 2018
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Ce roman met en scène un jeune couple, Camille et Alain et la chatte de ce dernier, Saha, à laquelle il est très attaché, au point de renoncer à vivre sa vie d’adulte et de se réfugier dans le royaume irréel et merveilleux qu’elle lui propose, Camille souffre de cette situation et finit par considérer Saha comme sa rivale. L’échec du couple est présenté à travers la triangulation, un homme, une femme une chatte. Alain est partagé entre la chatte qui symbolise la pureté, et Camille, qui, elle, symbolise la libération des sens, dans un monde dur et matériel.
Ce livre a plu à la plupart d’entre nous, à la fois par l’écriture très descriptive de la société bourgeoise de l’époque, et par la démonstration que fait Colette de sa connaissance des sentiments humains et de son amour de la nature.
Groupe 31 en 2009
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