• Car si l'on nous sépare de Lisa Stromme

    QUEL BONHEUR DE S'IMMERGER DANS L'ECRITURE DE LISA STROMME !

    (page 75- nous flânâmes quelques instants près des pieds de fraises puis je l'entraînai vers le rivage/ Dans le monde de Tullik le temps n'existait pas......Nous étions maintenant sur mon territoire, et ici je n'avais jamais été l'employée de personne.....).

    Un style imagé, vivant, lumineux comme la lumière de la mer où vient se reposer et passer l'été la famille bourgeoise de Tullik, mais aussi la colonie d'artistes très controversée dont fait partie Edvard MUNCH.

    Johanne LIEN, la fille d'un modeste fabricant de voiles, cueilleuse de fraises devient le temps d'une saison la servante de TULLIK et elles deviennent amies, chose jamais vue dans leur communauté.

    TULLIK est éperdument amoureuse d'Edvard MUNCH et elle entraîne Johanne dans sa passion pour le peintre qui scandalise les estivants.

    Edvard MUNCH n'épousera jamais TULLIK, il lui faut la liberté pour peindre.

    Il peindra « LE CRI », œœuvre qui donnera la célébrité au peintre.

    Nous avons profité d'une projection d'œuvres du peintre, qui est venue compléter la réunion, très réussie.

    A ne pas négliger : chaque paragraphe est « chapeauté  » par une phrase de

    J.W.von GOETHE tirée de son ouvrage : « Traité des couleurs »

    Groupe "Art et langage" octobre 2017


  • Commentaires

    1
    MFR
    Mardi 28 Novembre 2017 à 15:09

    Commentaire vraiment intéressant

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