• Ce livre passionnant nous a fait découvrir la vie d’une femme mystérieuse d’une grande intuition, qui fréquenta de nombreux intellectuels et artistes de son époque.

    Parmi les égéries du début du 20me siècle, Gala, de son vrai nom, Elena Ivanovna Diakonova fut une des plus énigmatiques. Femme magnétique à l’âme passionnée, plus que muse elle fut instigatrice, metteuse en scène, agent et collaboratrice. Elle sut reconnaître le génie créateur là où il se trouvait, comme Paul Eluard et Dali qui furent ses deux maris. Par sa force, sa volonté de créer, elle deviendra souveraine. Mais drôle de mère qui ne voulait pour enfants que ses maris !

    Ce très bon livre, très bien documenté a suscité l’intérêt général du groupe.

    Groupe « Art et langage » - Février 2019


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  • Le cœur de Simon a fait battre les nôtres tant notre discussion fut animée. Le roman suit pendant 24 heures le périple d’un cœur dans le cadre d’une transplantation cardiaque. Sur le fond, toutes ont apprécié la démarche de l’auteure, si documentée, qui dresse avec empathie le portrait de chaque personnalité intervenant dans un geste collectif. Mais le style ne fit pas l’unanimité. Certaines ont admiré la très belle plume ciselée de l’auteur quant d’autres ont été gênés par la longueur des phrases et une écriture « ampoulée » sans parler des soudains décrochages trop appuyés. Tout le groupe a cependant reconnu que ce livre est empreint d’une grande humanité. Il rend hommage à la médecine et nous conduit à réfléchir sur le don d’organes.

    Groupe « Plaisir Centre » Février 2019

    C'est le roman d'une transplantation cardiaque. Maylis de Kerangal nous fait vivre 24 H d'une famille anéantie par l'accident de leur fils Simon, 19 ans, leur inquiétude, puis la mort qui survient, impromptue, cruelle, la décision à prendre, mais aussi l'espoir de vie pour celle qui recevra son cœur.

    Nous avons beaucoup apprécié ce livre sensible, qui dresse une peinture fine et au plus près de chacun des personnages, la famille, les médecins, le chirurgien, les infirmiers tous embarqués dans le tourbillon de la transplantation.

    Avec une écriture maîtrisée et réaliste, un style précis et un ton juste, l'auteur nous interpelle et nous permet de mener notre propre réflexion.  Maylis de Kerangal témoigne dans cet ouvrage de sa parfaite connaissance du milieu médical, chirurgical, des techniques employées et dont elle nous fait profiter. Nous ne sommes pas près d'oublier ce livre passionnant et bouleversant qui nous aura marquées.

    Groupe 31 – Novembre 2014


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  • Ce livre passionnant nous a fait découvrir la vie d’une femme mystérieuse d’une grande intuition, qui fréquenta de nombreux intellectuels et artistes de son époque.

    Parmi les égéries du début du 20me siècle, Gala, de son vrai nom, Elena Ivanovna Diakonova fut une des plus énigmatiques. Femme magnétique à l’âme passionnée, plus que muse elle fut instigatrice, metteuse en scène, agent et collaboratrice. Elle sut reconnaître le génie créateur là où il se trouvait, comme Paul Eluard et Dali qui furent ses deux maris. Par sa force, sa volonté de créer, elle deviendra souveraine. Mais drôle de mère qui ne voulait pour enfants que ses maris ! Ce très bon livre, très bien documenté a suscité l’intérêt général du groupe.

    Art et langage - Février 2019


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  • Ce roman est une leçon de vie qui nous dépayse sur cette magnifique île de Bruny  (en Tasmanie dans l’antarctique) où vivent des petits marsupiaux arboricoles (les « Opossum »).

    « Vivre sa vie comme on le veut » aurait pu être le titre de ce roman.

    Les thèmes : pèlerinage, secret de famille, vieillesse…

    Mary Mason est une vieille femme malade qui sait que ses jours sont comptés et qui détient un secret. Elle vit en Australie entourée de ses enfants : Tom, Jan et Gary ainsi que de sa petite fille adorée. Elle sait que Jan veut la placer dans une maison de retraite et Mary refuse catégoriquement cette solution. Un très beau roman, tout en finesses  avec une belle écriture.

    Groupe "Les 4 vents" - février 2019

     

    La mémoire des embruns de Kare Viggers

    Karen Viggers est vétérinaire, spécialiste de la faune sauvage. Elle exerce dans divers milieux naturels, y compris l'Antarctique. Après "La Mémoire des embruns" qui a connu un grand succès, "La Maison des hautes falaises" est le deuxième roman de Karen Viggers publié aux Escales. Son troisième tome "Le murmure du vent" est sorti en 2017.


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  •       Pactum salis, est-ce vraiment un lien inaltérable?

    Nous parlerons plus d'une rencontre amicale entre deux personnages très opposés : Jean, parisien, qui a tout laissé tomber pour investir dans un marais salant à Guérande, mène une vie quasi monacale, déconnecté du monde et travaille avec acharnement.

    Michel, en vacances à la Baule, agent immobilier ambitieux, flambeur et prêt à tout pour réussir.


    Chacun s'aventure, durant une semaine, sur le terrain de l'autre : sur un malentendu, Michel se laisse embaucher par Jean pour l'aider dans le marais. De son côté, Jean se laisse débaucher pour accompagner Michel dans ses virées nocturnes et alcoolisées. Mais les deux souffrent de solitude.

    Ce "polar fantaisiste" n'a obtenu qu'un enthousiasme limité dans notre groupe, excepté la belle description des marais salants, certaines envolées lyriques et une certaine forme d'humour.

    "L'auteur se noye dans un bassin même pas profond que sont les marais salants"

    Groupe Acqueduc - février 2019 


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