Unanimité pour notre groupe pour ce roman qui a été primé au Goncourt en 1985.

L’écriture de Yann Queffélec est une petite merveille, la force du livre est de maintenir l’intensité et le malaise en limitant les scènes de violences. Difficile de faire la différence entre victime et coupable tant les rôles sont interchangeables…On se laisse porter par le récit, vivant et souffrant avec l’enfant.

Février 2019 - Groupe renaissance