Petit résumé de la journée.

Départ à l’heure prévue, temps idéal, circulation normale…

ce qui n’était pas évident dans ces temps agités !

Pause café-croissants à mi parcours,  

9h30, notre car arrive à l’heure dite au château de Carrouges dans l’Orne (en Normandie).

 

 

Accueil des guides, nous partageons le groupe en deux : nous sommes 50.

"Nous sommes devant un  élégant château, cantonné par quatre tourelles circulaires. Entouré de douves, organisé autour d'une cour intérieure. Il abrite des appartements décorés d'un mobilier précieux alliant styles Renaissance et Classique."

Chaque groupe aura l'occasion de découvrir à son rythme le château et son monumental escalier d'honneur aux remarquables arcades et voûtes de briques rouges, granit et briques noires.

Détruit au début de la guerre de Cent Ans, il fut reconstruit dans la vallée au milieu des étangs entre Maine et Normandie par les seigneurs de Carrouges.  

Ex place forte au XIVème siècle de la guerre, assiégé par les Plantagenêt et reconstruit après la guerre de cent ans, Carrouges devient un logis seigneurial au XVe siècle entouré de douves.

Dans le parc un châtelet d’entré cantonné de quatre tourelles.

Au XVIème siècle sa fonction de demeure de prestige s'affirme par la construction de deux ailes «classiques » et d’escaliers qui les desservent conçus par l'architecte François Gabriel (dont un de ses descendants est l’architecte de l’Opéra royal et du Petit Trianon de Versailles).

Imaginant la noblesse d’antan, nous avons admiré l’harmonieux décor géométrique du pavillon d'entrée, le mobilier ancien, la conception architecturale de l’escalier d'honneur, la chambre Louis XI où le roi séjourna réellement une nuit en 1473, la salle à manger et sa cheminée monumentale, le salon des portraits des propriétaires successifs du château sans oublier la cuisine et sa collection de casseroles en cuivre.

Le château sera resté cinq siècles propriété de la noble famille Le Veneur, très exactement jusqu’au 23 avril 1936, date à laquelle, le comte Le Veneur de Tillières, n’ayant pas de descendance mâle et subissant le déclin de l'économie rurale de cet entre-deux-guerres, se voit contraint de céder le château à l’État pour la modique somme de 200 000 francs.

L’État qui avait classé le château, dès 1927, parmi les monuments historiques.

La dernière propriétaire des lieux

 

Après un apéritif ensoleillé dans la cour du château suivi d'un déjeuner dans la salle des gardes du château, le car nous conduit à Alençon découvrir les secrets de la dentelle du même nom.

Visite au Musée des Beaux-arts et de la Dentelle d'Alençon 

(ancien collège des Jésuites de la ville).

L'attrait majeur des collections réside dans la présentation exceptionnelle des dentelles  à l'aiguille et en particulier du prestigieux "Point d'Alençon" dont le savoir-faire est inscrit sur la liste représentative du Patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO depuis 2010.

La visite commentée était complétée par un exemple concret, assuré par une dentellière experte et pédagogique, des dix étapes de réalisation du « Point d'Alençon ».

Cette technique se particularise par une durée d'exécution exceptionnelle : 1 cm² de dentelle nécessite 7 à 15h de travail selon la complexité du motif.

En réponse à nos questions,  nous comprenons sans surprise, que ce métier trouve difficilement de nouveaux candidats à l’apprentissage.

Les dentellières en activité actuellement  au sein de l'Atelier du conservatoire national du Point d'Alençon (rattaché au Mobilier national), sont très peu nombreuses et, semble-t-il, les seules au monde à détenir l’expérience de fabrication du Point d'Alençon.

Ces deux visites étaient commentées par des guides à notre écoute, aimables et compétents puisqu’ils ont su, à n'en pas douter, susciter l’intérêt du groupe.

Retour à Plaisir à 19h 30 comme prévu !

Très belle sortie de fin d’année sous le soleil, comme un avant-goût des vacances.

 

Photos du château d'un photographe professionnel clic sur la photo

 

 

 

 

 

Article annonce de la sortie

 

 

Matin le Château de Carrouges au

Selon l'habitude, notre car partira à 7h précises du parking Fleming.

Un petit déjeuner sera offert… avant l'arrivée à Carrouges.

 

Carrouges commune située dans le département de l’Orne dans la campagne d’Alençon.

A  la limite de la Normandie et du Maine, à l'écart du bourg, le Château de Carrouges,  bâtisse de briques, granit et ardoises fut élevée de la fin du XIVe à la fin du XVIe siècle.

Son parc conserve des ouvrages de ferronnerie exceptionnels datant du XVIIe siècle.

La visite guidée permettra de découvrir l'histoire du château resté dans la même famille du XIVème siècle à 1936.

Elle sera suivie d’un déjeuner gastronomique dans la salle des gardes du château.

Après-midi, Musée des Beaux Arts et de la Dentelle d'Alençon
 occupe une partie de l'ancien Collège des Jésuites et propose la plus grande collection au monde de dentelles à l'aiguille (1200 pièces). La visite se développera autour de l'histoire de ces travaux d'aiguille et d'une démonstration réalisée par les dentellières de l'Atelier National.

Le Musée des Beaux-arts et de la Dentelle d'Alençon vous accueillera dans un cadre prestigieux au sein de la Cour Carrée de la Dentelle, ancien collège des Jésuites de la ville.

L'attrait majeur des collections réside dans la présentation exceptionnelle de la dentelle à l'aiguille et en particulier du prestigieux "Point d'Alençon" dont le savoir-faire est inscrit sur la liste représentative du Patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO depuis 2010.  

 

 

 

 

 Une équipe de France 3 vous fait découvrir le travail de ce peintre.

 Clic pour voir le reportage

Picasso.Sculptures : Niveaux 0 et 1

"L’ambition de l’exposition « Picasso. Sculptures » est de faire connaître un aspect peu étudié de la sculpture de Picasso : sa dimension multiple à travers la question des séries et variations, fontes, tirages et agrandissements, réalisés à partir des originaux sculptés. L’exposition vise à réunir des ensembles exceptionnels tels que la série des Verres d’absinthe (1914) ou le groupe original des Baigneurs (1956) en bois, présenté avec les fontes en bronze du Musée Picasso. Un nouveau regard est porté sur les sculptures conservées au Musée Picasso, présentées systématiquement avec leur « double » ou leur(s) « variante(s) ». L’exposition est accompagnée d’un catalogue qui invite à suivre l’importante circulation des sculptures au cours de la vie de Picasso par leur reproduction, leur exposition ou leur diffusion par les photographies, la presse ou les revues d’art. "

PICASSO - 1900-1972 : Niveau 2

La sélection présentée au deuxième étage retrace chronologiquement les grandes périodes du travail de Pablo Picasso et propose un panorama de toutes les techniques de sa production. Elle s’appuie sur la collection du Musée national Picasso-Paris, la plus importante au monde d’œuvres de l’artiste, qui provient de deux dations effectuées en 1979 et en 1990.

PICASSO - intime : Niveau 3

Au troisième étage, des chefs-d’œuvre de Pablo Picasso dialoguent avec des œuvres provenant de sa collection personnelle, comme dans ses ateliers. Cette collection rassemble des contemporains de l’artiste, tels Henri Matisse ou Joan Miró, ainsi que des maîtres anciens qu’il admirait.

Le célèbre Szépmuvészeti Múzeum, en cours de rénovation, se joint à la Galerie Nationale Hongroise pour présenter à Paris les fleurons de leurs collections, depuis la sculpture médiévale jusqu’au symbolisme et à l’expressionnisme. L’exposition rassemble quatre-vingt peintures, dessins et sculptures de Dürer, Cranach, Greco, Goya, Manet, Gauguin, Kokoschka (…) et une dizaine d’oeuvres emblématiques de l’art hongrois offrant une perspective inattendue sur l’art européen.

Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais, le musée des Beaux-Arts de Budapest et la Galerie nationale hongroise.

Vidéo bande annonce en cliquant sur l'affiche

Archaïque, naïve, surréaliste, la peinture de cet artiste autodidacte admiré par Picasso et Matisse trouve à Orsay un merveilleux écrin. A voir absolument !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Clic sur l'image ci-dessous pour la vidéo