-
L'histoire démarre en 1661, à Vaux-le -Vicomte, lors du mémorable «régal» de Vaux qui vaudra sa disgrâce et sa perte au surintendant Fouquet : commissionné par ce dernier, La Fontaine doit rédiger un éloge poétique à la gloire du château, le Songe de Vaux, il est donc aux premières loges de la fête somptueuse.
Jean-Baptiste Poquelin, Molière, au lendemain du succès de sa pièce" L'école des Maris" s'est vu passer commande in extremis par Fouquet, d'un divertissement impromptu à présenter à sa Majesté lors de l'inauguration.
C'est la première rencontre entre deux caractères aussi opposés qu'on peut l'être.
Gilles de Becdelièvre retace minutieusement leur cheminement en s'appuyant sur toutes les traces et écrits de l'époque."
1 commentaire -
QUEL BONHEUR DE S'IMMERGER DANS L'ECRITURE DE LISA STROMME !
(page 75- nous flânâmes quelques instants près des pieds de fraises puis je l'entraînai vers le rivage/ Dans le monde de Tullik le temps n'existait pas......Nous étions maintenant sur mon territoire, et ici je n'avais jamais été l'employée de personne.....).
Un style imagé, vivant, lumineux comme la lumière de la mer où vient se reposer et passer l'été la famille bourgeoise de Tullik, mais aussi la colonie d'artistes très controversée dont fait partie Edvard MUNCH.
Johanne LIEN, la fille d'un modeste fabricant de voiles, cueilleuse de fraises devient le temps d'une saison la servante de TULLIK et elles deviennent amies, chose jamais vue dans leur communauté.
TULLIK est éperdument amoureuse d'Edvard MUNCH et elle entraîne Johanne dans sa passion pour le peintre qui scandalise les estivants.
Edvard MUNCH n'épousera jamais TULLIK, il lui faut la liberté pour peindre.
Il peindra « LE CRI », œuvre qui donnera la célébrité au peintre.
Nous avons profité d'une projection d'œuvres du peintre, qui est venue compléter la réunion, très réussie.
A ne pas négliger : chaque paragraphe est « chapeauté » par une phrase de
J.W.von GOETHE tirée de son ouvrage : « Traité des couleurs »
Groupe "Art et langage" octobre 2017
1 commentaire -
Lundi 11 décembre 2017 à 14 heures
Théâtre Robert Manuel - Château de Plaisir
Conférence proposée par Isabelle de FEYDEAU
Historienne et écrivaine - Docteur en parfumerie
En racontant l'histoire du parfum, on raconte l'histoire de l'humanité, du début de l'histoire des dieux à celle de la séduction.
Parce qu'un parfum n'est rien sans la peau et que c'est cette rencontre qui est magique, magique comme une histoire qui commencerait ainsi : il était une fois entre l'imaginaire et le réel, le parfum qui était et demeure une expression du sensible, la plus intime de l'être... L'art du parfum est un art à part.
Ses derniers livres :
Le roman des Guerlain Parfumeurs de Paris éditions Flammarion 2017
L’eau de rose de Marie-Antoinette éditions Prisma 2017
Bourjois Une petite histoire de la beauté éditions Chêne 2014
Les parfums : Histoire, anthologie, dictionnaire éditions R. Laffont 2011
Une dédicace est prévue après son intervention
Pas de préinscription, se présenter directement au théâtre Robert Manuel,Château de Plaisir - Entrée : tarif unique 5€
Le roman des Guerlain Parfumeurs de Paris éditions Flammarion 2017
«La gloire est éphémère, seule la renommée est durable.»
Près de deux siècles d’histoires d’amour et de beauté, perlés de tant de parfums imaginés, se sont écoulés depuis qu’un jour de 1828 Pierre-François-Pascal Guerlain (1798-1864), parfumeur-chimiste de son état, ouvrit sa première boutique, rue de Rivoli, non loin du très chic hôtel Meurice, à Paris... Son destin avait été scellé bien des années auparavant, dans ce berceau d’odeurs où s’écoula sa petite enfance à Abbeville, auprès de son père, marchand d’épices et potier d’étain. Muscade, cannelle, vanille, poivre venus de terres lointaines avaient fait rêver l’enfant et nourri sa mémoire à jamais. Des velléités d’indépendance, le désir, encore fugace, de se réaliser poussèrent sur la route un jeune homme prêt à tout pour conquérir ses rêves, et qui allait se révéler bientôt en créateur visionnaire, doué d’un génie sans égal pour combiner d’heureuses alliances olfactives...
Libre et audacieux, Guerlain suivit son intuition, offrant à une clientèle exigeante des fragrances inoubliables, encloses dans des flacons aussi élégants que raffinés, comme on n’en avait encore jamais vu. Après lui, Aimé, Jacques, Jean-Paul poursuivront l’aventure en la réinventant sans cesse, au point d’incarner le Paris du luxe et de la volupté. Une réussite familiale romanesque, que fait revivre avec talent la plume d’Élisabeth de Feydeau. Une histoire, enfin, où égéries et muses ne manquent pas, qui ont inspiré parmi les grands succès de la Maison – «Jicky», «L’Heure Bleue», «Mitsouko», «Shalimar»...
votre commentaire -
Créée en 1989 à la Sorbonne, il est dit que la Cité de la Réussite est devenue l’un des plus grands carrefours européens d’échanges et de débats intergénérationnels sur les thèmes essentiels de société.
Un thème nouveau à chaque session.
Cette année le thème était « La transmission » :
Lien pour la conférence d'ouverture
https://www.youtube.com/watch?v=FFMDYCWk3Sw
avec Idriss Aberkane, Georges Addad, et Boris Cyrulnik.
2 commentaires -
... des idées de cadeaux pour les fêtes de fin d'année ou de lectures pendant les vacances scolaires : premier jour de congés : samedi 23/12/2017 jour de fermeture de l'accueil L&D - Reprise école et réouverture de l'accueil L&D : lundi 8/01/2018
Anatole France : « Marie Curie » de Eve Curie ( pas de commentaire)
Aqueduc : « En attendant Bojangles » de Olivier Bourdeaut
La Bataille : « Petit pays » de Gaël Faye
Cent arpents : « Petit pays » de Gaël Faye
Renaissance : « Miniaturiste » de Jessie Burton
English-speaking group : “ All the light we cannot see ” de Anthony Doerr
Auteur : « Mali, Ô Mali » de Erik Orsenna ( pas de commentaire)
Ecrivains du monde : « Il pleuvait des oiseaux » de Jocelyne Saucier
Neauphle : « Eclipses japonaises » de Eric Faye
Bookworms : « The ginger tree » de Oswald Wynd ( pas de commentaire)
Plaisir Centre : « Un goût de cannelle et d’espoir » de Sarah McCoy (pas de commentaire)
Les quatre vents : « En vieillissant les hommes pleurent » de Jean-Luc Seigle
« Berezina »de Sylvain Tesson ( pas de commentaire)
La Rivière : « Toute la lumière que nous ne pouvons voir » de Anthony Doerr (pas de commentaiire)
Simone de Beauvoir : « Les désorientés » de Amin Maalouf ( pas de commentaire)
Calliope : « Petit pays » de Gaël Faye
Val Boissière : « Le dernier Lapon » de Olivier Truc et
« Petit pays » de Gaël Faye
Les nocturnes du mardi : « Les mains du miracle » de Joseph Kessel ( pas de commentaire)
Groupe du soir : « Une femme blessée » de Marina Carrère d’Encausse ( pas de commentaire)
Polar : « L’homme de Lewis » de Peter May
Calliope : « Petit pays » de Gaël Faye
Groupe 31 : « Le temps où nous chantions » de Richard Powers
« En attendant Bojangles » de Olivier Bourdeaut (lpas de commentaire)
Livre le plus lu dans les groupes en 2016 / 2017 : « Petit pays » de Gaël Faye suivi de près par « Le mystère Henri Pick » de David Foenkinos
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires